PRÉNOM: écrire ici; NOM: écrire ici; AGE: vingt sept ans; LIEU DE NAISSANCE: en Allemagne, Berlin; ORIENTATION SEXUELLE: bisexuel; STATUT CIVIL: célibataire; PROFESSION: écrivain; CARACTÈRE: sensible, innocent; courageux, vulnérable, charismatique, aimant, attachant, confiant; AVATAR: douglas booth

Étant donné que c'est un scénario(ou poste vacant) libre à vous de dire le minimum sous anecdote ou autre, tant qu'il y a le néccesaire pour cerner le personnage. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Cras vel erat sapien. Fusce facilisis sagittis eros nec mattis. Fusce adipiscing mollis sollicitudin. Vestibulum bibendum nisi non sem feugiat non semper tortor lacinia. Mauris ut elit metus. Etiam id orci libero. Integer libero arcu, convallis quis ornare in, porta sed neque. Cras quis leo a justo malesuada elementum id sed libero. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit.

Il était mon premier amour. J'y ai vécu ma plus belle d'histoire.
J'étais en voyage d'affaire. On m'avait demandé de séjourner à Berlin. Je ne parlais pas un mots leur langue. Je crois que le plus dur était de m'adapter au « pays ». Il n'avait pas la même « utopie », et voyait encore en « Hitler » un sauveur. Il n'était plus dans ce monde, mais les allemands continuaient à croire en cet homme. Il citait même plusieurs phrases rapportant à « Hitler » et comme quoi l'Allemagne se porterait mieux avec le retour du « Fureur ». Il avait commis tellement d'injustice. Il y a eu d'abord les massacres, et également les « juifs » ou on a du brûler des bouquins, et détruits des entreprises, sans compter des champs d'extermination. Je ne vais pas m'éterniser sur ce « sujet » beaucoup trop douloureux. […]

Il se baladait dans la rue. Je commençais donc à le suivre. Il a pris peur et commença à m'éviter, en accélérant le pas. Je l'ai donc rattrapé par le bras. Je lui ai donc demandé en allemands : « excusez-moi.. je t'ai déjà vu.. tu venais souvent ici.. et j'étais dans un café.. tu te souviens ? » Il ne devait certainement pas s'en rappeler. Je tentais une deuxième approche. Il n'est pas facile de parler à un allemands sans communiquer la langue. « Je m'appelle Allistair.. peut-être voudrais-tu boire.. une bière ! » Il ne prononça même pas un mots. Après tout je ne suis qu'un « inconnu » , alors pourquoi viendrait-il boire un verre ? Je devais de m'excuser, pour avoir perturber son « travail », ou du moins son occupation. « non.. d'accord.. désolé.. » et c'est à ce moment là qu'un miracle commença. Il m'avait retenu par le bras. Il m'a suivi jusqu'à un café pour commander deux alcools. Et nous avions commencé à communiquer. Il s'appelait X. Il était un amateur écrivain, mais qui s'occupait de plusieurs travaux, le temps de pouvoir vivre uniquement de sa « passion » l'écriture. Je lui parlais donc de mon métier « ingénieur informatique » un beau métier me disait-il. Il souhaitait apprendre notre langue, pour pouvoir mieux communiquer avec « mon pays ». Je lui proposa alors des « cours » particuliers, ou il devrait venir de temps en temps. Il accepta volontiers de se prêter aux « règles » et de venir dans l'appartement que j'ai loué le temps de mon séjour à Berlin. [...]

Il était un être sensible, innocent, et vulnérable.. Un être que je pouvais chérir et protéger de mon amour le plus profond.

On était tous les deux allongés, profitant du temps magnifique. Je déposais un baiser dans son cou, en touchant du bout des doigts son corps. Je n'oublierai jamais ce moment, ni même la rencontre avec « ses parents » son frère n'était pas très accueillant, qui était un fanatique de « Hitler ». Quant à ses parents de charmantes personnes, qui m'accueillir dans la famille, les bras grand ouverts, même si cela ne le faisait pas tellement plaisir. Je me souviens, que son « frère » avait déjà essayé de nous séparer, en demandant de choisir. Il n'a même pas réfléchi, et a choisi « sa famille ». […] Je l'ai revu la dernière fois, avant mon départ. Il tenait à s'excuser du comportement de son « frère », en me disant qu'il m'attendrait. Il savait les risques de tomber de nouveau « amoureux ». Je l'ai même prévenu, mais cela ne l'effrayait pas. Je lui ai pourtant proposé de « partir » ensemble, mais il voulait rester à Berlin, entourait de sa famille. […]